(Paris, Lepère. 2003) : de St Jean Pied de Port à Compostelle (via Burgos et Léon) et au cap Finisterre.

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  • 19 août 2004
    J. Pierre

    Plusieurs éléments m’ont troublé : Avec moins de choses dans mon sac, j’ai trainé plus de poids qu’il n’ait dit. Par ailleurs, les adresses des Associations jacquaires ne sont pas à jour

    Les repères historiques sont affirmés sans prudence et de façon approximative. Saint Jean Pied de Port est citée comme existant au temps des Romains, alors que Aymeric Picaud (XII° siècle) ne fait référence qu’à Saint Michel !... Il est conseillé de prendre la route Napoléon plutot que le GR 65 alors que c’est la même...L’Alto de Erro est décrit dans l’étape St Jean Pied de Port - Roncevaux, alors qu’il est dans l’étape suivante. En fin d’ouvrage, la traduction de la Compostela ne vous vaudra pas 20/20 auprés d’un prof de latin. Dans les étapes, les descriptions sont partielles et les passages décrits ne sont pas cités dans l’ordre.

    En revanche, j’ai trouvé, au fil des étapes, des récits et légendes que les habitants m’avaient racontés, mais que je n’ai trouvés dans aucun autre guide, et cela donne au texte un relief culturel qui m’a beaucoup interressé. J’y ai trouvé aussi, et pour la première fois, une explication de l’origine du mouvement qui pousse certains pèlerins à aller jusqu’à Fisterra sans qu’ils sachent dire pourquoi.

    Au total, ce guide m’a interressé, mais plus à mon retour qu’en route.