(FRA. Le Coudray-Macouard, Cheminements. 2005) : du Puy à St Jean Pied de Port.

Publié le - Mis à jour le 18 mars 2019
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Messages

  • 5 décembre 2009
    Bernard Delhomme

    Marcher cinq semaines sur la partie française du Chemin de Compostelle, Brigitte Guilhot, l’a décidé pour ses cinquante ans. Partir seule, vers où ? vers les autres ? vers elle-même ? vers une nouvelle vie ?

    Prendre le temps de marcher, se confronter à son corps, à ses douleurs, à la solitude, aux détails de la vie qui prennent là une dimension complètement différente. Des rencontres, des découvertes, de l’humain : « Une autre expérience de ce chemin, est que la bêtise, la méchanceté, l’absence de conscience, la xénophobie, sont encore plus choquantes que dans la vie quotidienne. »

    Au fil des pas, Brigitte Guilhot croise et recroise des marcheurs, des personnes et des personnages dans les villages, elle échange, elle évite, elle recherche, elle s’épuise, elle reprend courage et elle va jusqu’au bout.

    Au bout de son projet, au début de nouvelles étapes, son récit nous fait partager ses réflexions et ses interrogations. Y a-t-il une fin au voyage intérieur ? Ce chemin agit comme un révélateur.

  • 9 septembre 2012
    Routier33

    Drôle de récit avec de drôles de phrases ! Assurément quelqu’un qui en rajoute beaucoup ! Elle a dû faire le chemin en recueillant les témoignages de vrais pèlerins.
    Deux inepties en passant :
    En France, on ne dit pas Bueno Camino mais Bon Chemin. En Espagne, on ne dit pas Bueno Camino mais Buen Camino !

    Cajarc est une étape avant Limognes et non après

  • 5 mai 2014
    Caminoropa

    L’inventaire de ses élans misanthropiques tout au long de son ouvrage de 190 pages est pour le moins pesant. Cette dame aurait pu selon mon humble avis se contenter de marquer le passage de ses 50 ans en marchant sur le GR 11 dans l’Ile de France plutôt que sur le Chemin. C’est justement "grâce" à des randonneurs de son genre que les gens sur le Chemin deviennent méfiants ou agressifs. Le sens du Camino lui est manifestement resté totalement étranger. Le comble c’est d’avoir malgré tout "pondu" un poncif et faire passer à la caisse autrui, dont j’en ai malheureusement fait partie. J’espère seulement qu’elle restera sur son canapé à l’occasion de ses 60 ans !

    Voir en ligne : http://www.caminoropa.ch

  • 28 mai 2014
    mcrk

    @Caminoropa
    cher monsieur, la lecture de votre commentaire sur "l’autre chemin" me confirme combien dans la vie tout est question de filtres.... Vous avez reçu comme agressif ce que j’ai lu dans l’allégresse, portée par la qualité du style, la finesse psychologique des descriptions moins vachardes que souvent tendres et pleines d’humour, la justesse du ton honnête et finalement plein d’humilité !
    Comme quoi ....
    Je rentre de quelques jours, toujours trop courts, sur le Chemin et, rassurez-vous, je n’ai rencontré aucun randonneur ou pèlerin agressif.
    Je vous souhaite d’y vivre encore de très grands moments, sans méfiance.