(FRA. Paris, La Bruyère. 2014) : "Chemin d’humilité, chemin d’éveil". récit

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  • 16 septembre 2014
    Bernard Delhomme

    Le chemin de Compostelle, entité protéiforme : difficile à cerner dans son intégralité, dépouille le corps : enrichit l’esprit : demande autant qu’il donne. Il oblige à se défaire de tous les superflus qui enserrent et étouffent Il est une ouverture vers des horizons insoupçonnés. L’auteur, n’étant ni poète ni philosophe, mais simplement un conteur, s’est attaché à décrire, pas à pas, ce qui se passe sur le chemin et dans la tète d’un pèlerin lambda, avec des mots simples et vrais, "précipités" des souvenirs laissés comme des cailloux au bord de la route : que l’on ramasse et trie pour les assembler et en faire. comme le facteur Cheval un "Palais Idéal". Aura-t-il réussi ? Au lecteur courageux : ami passant, d’en décider