( USA. Lulu.com. 2007)

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Messages

  • 9 janvier 2008
    Bernard 64

    note de l’auteur

    Qu’on ne se méprenne pas sur le sens du mot « leçons » ! Je ne suis pas un donneur de leçons, mais je suis toujours prêt à vivre une expérience si elle me permet d’en tirer une leçon enrichissante et, donc, de grandir. Je pense que nous sommes sur Terre pour apprendre. La lumière messianique vient de l’est. La lumière jacquaire vient de l’ouest. N’ayant pas la même provenance, elles ne sont donc pas identiques. La lumière de Jean vient du sud lorsqu’on se trouve au Mont-Saint- Michel. Elle vient de l’est lorsqu’on est à Santiago et Jacques est le frère de Jean. Quant à moi, je me suis laissé guider par la lumière de Michel qui est aussi une lumière de l’Occident (le Mont-Saint-Michel est à l’ouest de l’Europe), mais qui fut ma lumière noire (« lux in tenebris »), ma lumière du nord, celle des origines...

    • 24 août 2008
      Jipi

      Le Chemin de saint Jacques est un révélateur.
      Il nous révèle à nous-mêmes...
      Etre soi-même, être vrai, c’est le challenge qui nous est proposé tout au long de ce magnifique parcours.
      Ce qui me navre le plus ?
      C’est lorsque j’entends quelqu’un dire :
      "moi, je n’aime pas marcher !"
      Quel dommage de se priver d’un tel bonheur...
      Qui plus est bon marché...
      C’est à dire : accessible à tous.
      Existe-t-il quelque chose de plus démocratique que la marche à pied ?
      Aucun matériel sophistiqué d’un coût élevé.
      Que du bonheur !
      Lorsque je fais le tour de mes motivations,
      je constate que la première est :
      Donner à quelqu’un le désir d’aller à Compostelle...

  • 19 septembre 2009
    Bernard Delhomme

    note de l’auteur :

    "Je ne me suis jamais senti aussi proche de la Vérité ou, plutôt, de « ma » vérité que sur le Chemin de Compostelle. N’ayant plus rien à prouver, je me sens enfin dans la vie réelle, dans ma « vraie vie ». Je me sens riche de cette vérité qui ne monte pas à la tête et qui ne donne nulle envie d’avoir raison à tout prix, celle qui fait que la critique ne rend pas malheureux et que le compliment ne rend pas vaniteux. Je suis devenu moi-même et, à aucun moment, je n’ai eu besoin d’avoir recours au mensonge pour me sortir d’une situation. La vérité est une épée : c’est une arme à double tranchant (la taille et l’estoc) qui a la forme d’une croix. Elle permet à la fois de crucifier le mensonge et le menteur. Fort de la possession de cette arme, le pèlerin ne connaît plus la peur."

  • 15 juin 2015
    VERNIER

    pourriez-vous m’indiquer si l’ouvrage est encore disponible et aupès de quel revendeur ?
    par avance, merci.

  • 13 mars
    Holleville Michel

    J’ai retrouvé votre livre en faisant du rangement dans ma bibliotheque. Ayant moi aussi parcouru, et re parcouru ce chemin (départ du Puy en Velais, puis une autre fois, Séville- Compostelle, suivi de Vezelay- St Jean-pied de port, et pour finir le camino del Norte) je partage beaucoup de vos reflexions.
    De plus j’ai trouvé quelques points communs à notre démarche (au moins 3)qui s’est fait sous la protection d’un certain G.A. D’L.U.
    Le travail (sur soi) ne s’arrête jamais, et ce voyage sous la vôute Étoilée permet de se recentré.
    Merci pour vos remarques pleines de bon sens, et parfois de sagesse.
    Montréal le 13 Mars 6024.