> Peu de temps : d’où puis-je partir ?
En fait, partir pour 15 jours, à mon avis, celà n’a rien à voir avoir un périple de plus de 2 mois.
En 15 jours, même en se déconnectant de la vie de tous les jours, on n’a pas la même foi en soi , ni les mêmes efforts à fournir , le temps à affronter , la pluie à subir , comme sur une période de 2 mois. Il me semble qu’être pélérin de compostelle c’est marcher pendant une bonne période , la victoire ne sera pas le périple réalisé mais une assurance de ne plus être un produit de consommation, de savoir que le bonheur est simple comme une grosse gorgée d’eau fraîche après une montée sous le soleil brûlant. après l’effort .... réussir à être pélerin pour moi , c’est savoir savourer les arômes du sous bois à 7h00 de matin et de s’y sentir en parfaite harmonie , c’est admirer une sauterelle qui vous accompagne, parler à l’araignée qui file sur votre main,
enfin, changer pour devenir un être humain à part entière sans toutes les technologies qui nous polluent
En fait, partir pour 15 jours, à mon avis, celà n’a rien à voir avoir un périple de plus de 2 mois.
En 15 jours, même en se déconnectant de la vie de tous les jours, on n’a pas la même foi en soi , ni les mêmes efforts à fournir , le temps à affronter , la pluie à subir , comme sur une période de 2 mois. Il me semble qu’être pélérin de compostelle c’est marcher pendant une bonne période , la victoire ne sera pas le périple réalisé mais une assurance de ne plus être un produit de consommation, de savoir que le bonheur est simple comme une grosse gorgée d’eau fraîche après une montée sous le soleil brûlant. après l’effort .... réussir à être pélerin pour moi , c’est savoir savourer les arômes du sous bois à 7h00 de matin et de s’y sentir en parfaite harmonie , c’est admirer une sauterelle qui vous accompagne, parler à l’araignée qui file sur votre main,
enfin, changer pour devenir un être humain à part entière sans toutes les technologies qui nous polluent
Cricri, tu n’as rien compris !
Comme écrivait Antonio Machado, "homme qui marche, il n’y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant"Je fait mienne cette phrase, car il y a autant de chemins que d’êtres humains, et chacun d’entre nous trace sa propre route, chacun écrit sa page, au jour le jour, heure après heure, rencontre après rencontre.
Fraternellement Alain
Vous avez tous les deux raisons lol :-)
je rentre juste de 9 jours de marche entre le puy et conques, sans organisme et sans avoir réservé.tout s’est très bien passé.
en emportant un sac à viande, j’ai toujours trouvé de la place dans les gîtes communaux ou autres.et le bouche à oreilles fonctionne bien. Le chemin est un lieu de communication facile si on le désire, mais on peut aussi s’isoler (Sauf du bruit des ronfleurs dans les dortoirs même avec les Quiès) Et il faut faire confiance au chemin.Bons préparatifs même en arrêtant avant Conques
Coco
a chacun sa route a chacun son Chemin, s’il vous plait pas de leçon de morale c’est ridicule
Bonjour,
Je pars pour la première fois et je projète de le faire à partir du Puy vers Conques. Pouvez-vous me dire si la route est difficile car je ne suis pas une bonne sportirve et j’ai très peu d’entrainement.
Merci
Marie
Bonjour,
J’ai lu votre message sur le forum. Je fais ma première étape fin août et je souhaite également partir du Puy vers Conques. Auriez-vous des conseils à me donner (je ne suis pas entraînée) sur l’équipement et les étapes. Merci à vous. Mon mail est bronsky6@hotmail.fr
Marie