Faut-il faire le chemin en groupe ou seul ?
Voilà bien une question difficile à laquelle il faut répondre puisqu’elle est posée. Je pars le 1er juin 2010 de la Pointe Saint Matthieu (à l’ouest de Brest) et souhaite me rendre à Compostelle par le Camino Norte et cela sans interrompre le périple. En bref de m’y rendre en longeant le plus possible l’océan. A Saint Jacques, je souhaiterais bien sûr (si j’arrives au bout) pousser jusqu’au Cap Finistère pour boucler la boucle.
Partir seul présente de vrais avantages et de vrais inconvénients à mes yeux. Un chemin qui permettra de faire le point avec son histoire et soi même à tous points de vue pour envisager sereinement au retour quel sens donner à sa vie future. Donc un chemin d’intériorité, ça, c’est une vraie chance. Mais partir seul c’est aussi prendre le risque de ne pas avoir suffisemment de motivations lorsque les moments difficiles surviendront (fatigue, bobos divers, blues etc etc).
Partir à 2 ou plus présente l’avantage de se soutenir, de trouver en l’autre la motivation qui pourrait défaillir chez soi et de motiver et aider l’autre lorsque lui aussi défaille. Mais cela a un vrai inconvénient. A deux, il me semble difficile de pouvoir faire le point avec soi même et ce chemin est sans doute le vrai privilège qu’il offre. De plus, comment savoir avant de partir si la personne avec qui vous vous êtes entendu pour le faire correspond bien à la personnalité de chacun. Trois mois (durée moyenne de ce voyage d’où que l’on parte et si on le fait en une seule traite) c’est très long et si on a du mal à s’entendre, cela peut vite devenir difficile.
Alors, quel est le bon moyen ? Je me dis que partir seul malgré toute la part d’incertitudes que cela présente n’empéchera pas de cheminer avec d’autres au hasard des rencontres pour un moment court ou plus long selon le souhait de chacun et bien sûr son rythme de marche.
Après ? Wait and see.
Voilà bien une question difficile à laquelle il faut répondre puisqu’elle est posée. Je pars le 1er juin 2010 de la Pointe Saint Matthieu (à l’ouest de Brest) et souhaite me rendre à Compostelle par le Camino Norte et cela sans interrompre le périple. En bref de m’y rendre en longeant le plus possible l’océan. A Saint Jacques, je souhaiterais bien sûr (si j’arrives au bout) pousser jusqu’au Cap Finistère pour boucler la boucle.
Partir seul présente de vrais avantages et de vrais inconvénients à mes yeux. Un chemin qui permettra de faire le point avec son histoire et soi même à tous points de vue pour envisager sereinement au retour quel sens donner à sa vie future. Donc un chemin d’intériorité, ça, c’est une vraie chance. Mais partir seul c’est aussi prendre le risque de ne pas avoir suffisemment de motivations lorsque les moments difficiles surviendront (fatigue, bobos divers, blues etc etc).
Partir à 2 ou plus présente l’avantage de se soutenir, de trouver en l’autre la motivation qui pourrait défaillir chez soi et de motiver et aider l’autre lorsque lui aussi défaille. Mais cela a un vrai inconvénient. A deux, il me semble difficile de pouvoir faire le point avec soi même et ce chemin est sans doute le vrai privilège qu’il offre. De plus, comment savoir avant de partir si la personne avec qui vous vous êtes entendu pour le faire correspond bien à la personnalité de chacun. Trois mois (durée moyenne de ce voyage d’où que l’on parte et si on le fait en une seule traite) c’est très long et si on a du mal à s’entendre, cela peut vite devenir difficile.
Alors, quel est le bon moyen ? Je me dis que partir seul malgré toute la part d’incertitudes que cela présente n’empéchera pas de cheminer avec d’autres au hasard des rencontres pour un moment court ou plus long selon le souhait de chacun et bien sûr son rythme de marche.
Après ? Wait and see.
Bonjour
mon ami est seul en ce moment, depuis le 31 mars 2010, il est déjà à Roncevaux. Le faire seul lui permet de s’intérioriser, effectivement, et à distance, par téléphone, une fois par jour, nous échangeons. Je le soutiens si besoin, il me fait part de ces impressions. Je pense que c’est un moment de réflexion, et il faut le faire seul pour être ouvert aux rencontres et à sa propre méditation.
... presque 40 ans en arrière (1973, Seyne-le- Alpes et environs), le monde est petit. Bonne route à pieds, pas en camping-car
a mon avis c’est mieux de partir seul plutot que avec des personnes que tu connais pas et que tu n’aurais pas eu envis de marcher avec eux si tu les avais croisés en chemin par contre tu rencontreras toujours quelq’un avec tu te sentiras bien et ça se feras naturellement .
bon camino
Il faut le faire seul(e) sauf si on veut se brouiller définitivement avec la personne qui vous accompagne. Une exception à cette règle : partir avec son conjoint si vous êtes mariés depuis plusieurs années.
le camping car, je l’ai utilisé pour aller voir Régine( les 4 chemins, Aubrac) qui avait eu sa maison brulée et j’ai tenté de l’aider, mais lorsque je l’ai rencontré la première fois j’étais bien sur mes piedsJ’ai eu un tel accueil que cela ne s’oublie pas ; j’ai utilisé une fois un camping-car ce que je ne ferai plus mais là je n’étais pas sur le chemin.
Le camping-car a aidé pour la route vivant assez loin de l’Aubrac
pour dormir car tout était dévasté chez elle.
Jamais, je n’imaginerai de suivre le chemin en camping-car, ni même pour faire d’autres chemins.
Certains le font peut-être, cela est dommage car ce n’est point l’esprit du chemin, tout du moins pour moi.
Mais bon, si il y a des personnes handicapés, cela peut-être une aide ?
Quand je repartirai ce sera seule pour diffrerentes raisons "aller à son rythme et richesse des rencontres"
même si parfois seule.
Amicalement
Sonia
Toutes les solutions sont bonnes et elles dépendent vraiment de chacun.
Pour ce qui me concerne je propose des marches accompagnées sur mon blog :
http://armand49compostelle.over-blog.com
Je suis bien sûr ouvert à tout commentaire
armand
Voir en ligne : http://armand49compostelle.over-blog.com