C’est tendance... après le Monde voici Le Point
Bonjour,
J’ai copié un compte rendu d’un article du Point, et c’est pas beau de copier :
Le Point veut nous faire marcher (au sens étymologique du terme) ; le mag célèbre les (innombrables) vertues de la marche. L’écrivain randonneur Sylvain Tesson, en couverture du magazine, donne le ton "la marche nous arrache à la "semi présence de la vie immobile et cimentée... Le marcheur est anti moderne...Il est d’arrière garde, certes, mais éternel..."
La marche est le dérivatif de l’agitation intérieure. Elle dompte "la bête". Grand marcheur également, l’ancien patron en titre du journal, Franz-Olivier Giesbert qui a illustré son article avec "l’Homme qui marche" de Rodin, affirme : "La marche apaise, panse, euphorise".
"Elle ouvre les yeux, vous fait changer d’univers, vous sort de la vase qui nous menace tous, vous remet à votre place, chasse les idées noires". Elle éloignerait même le crabe. Et FOG de conclure en citant Jacques Audiberti : "Un con qui marche vaut dix intellectuels assis".
Je crois que cette maxime vous ravira tous, et je vous souhaite un buen camino.
Archibald
Bonjour,
J’ai copié un compte rendu d’un article du Point, et c’est pas beau de copier :
Le Point veut nous faire marcher (au sens étymologique du terme) ; le mag célèbre les (innombrables) vertues de la marche. L’écrivain randonneur Sylvain Tesson, en couverture du magazine, donne le ton "la marche nous arrache à la "semi présence de la vie immobile et cimentée... Le marcheur est anti moderne...Il est d’arrière garde, certes, mais éternel..."
La marche est le dérivatif de l’agitation intérieure. Elle dompte "la bête". Grand marcheur également, l’ancien patron en titre du journal, Franz-Olivier Giesbert qui a illustré son article avec "l’Homme qui marche" de Rodin, affirme : "La marche apaise, panse, euphorise".
"Elle ouvre les yeux, vous fait changer d’univers, vous sort de la vase qui nous menace tous, vous remet à votre place, chasse les idées noires". Elle éloignerait même le crabe. Et FOG de conclure en citant Jacques Audiberti : "Un con qui marche vaut dix intellectuels assis".
Je crois que cette maxime vous ravira tous, et je vous souhaite un buen camino.
Archibald
Bonjour à tous !
Dans la lignée, permettez-moi d’ajouter ce mot de Devos :
Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche.
Quand l’un avance, l’autre veut le dépasser.
Et moi, comme un imbécile, je marche !
à archibald39
je suis d’accord à 100% avec la citation du sieur Audiberti et merci monsieur Devos et J P , bon camino à vous
atapuerca