(BEL. Bruxelles, Artésis. 2006) (FRA. Paris/Nice, Bénévent. 2010) : l’aboutissement du pèlerinage en chaise roulante d’une handicapée motrice.



 


 

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  • 6 février 2009
    Bernard 64

    Un voyage n’est beau que s’il nous emmène jusqu’à sa destination. Christine Calapristi a repris sa route jusqu’à Compostelle, là où un accident arrêta son premier pèlerinage sur une route accidentée. Elle a suivi le "fil d’or" de sa foi et de ses convictions, plutôt que de s’accrocher au "poteau d’airain" de la résignation.

    Elle nous livre également ses conseils pour entreprendre et réussir un pèlerinage vers Saint- Jacques de Compostelle… C.D.

    Il est rare qu’un tel souhait soit dicté par des considérations touristiques, culturelles ou sportives. Une des dimensions essentielles, particulièrement respectable, tient dans cette faculté que nous avons tous de décider du parcours, du temps que nous pourrons y consacrer.

    Il ne suffit sans doute pas d’aller à Compostelle pour en revenir pèlerin mais il est certain que chacun en tire un enseignement qu’il n’aura de cesse de vouloir poursuivre en partant sur d’autres chemins. Car pour vivre son cheminement, il n’y a pas de voie tracée, il n’y a que la conviction juste et la foi.

    L’essentiel ne tenant sans doute pas dans l’explication de la démarche pèlerine mais bien dans la poursuite de sa propre quête.

    Laissons les poussières et les vents des drailles nous guider vers cette ville, vers Saint-Jacques de Compostelle…