(FRA. Périgueux, Fanlac. 2009/2010) : "Pèlerinage de Jean et Pilou. Saint Jacques de Compostelle, Rome et presque Jérusalem". récit

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  • 29 mars 2011
    Bernard Delhomme

    Mémoires d’un âne et de son pèlerin de maître. Après 11 000 kilomètres sur les chemins de Compostelle, un récit cavalier .

    Après un premier tome de « Les Vagabonds du Bon Dieu », cet ex-patron belge de transports, aujourd’hui installé en Périgord, sort son deuxième tome. Autant le premier itinéraire tourné vers l’Ouest était d’une simplicité géographique qu’on qualifiera de… biblique (direction Saint-Jacques-de-Compostelle, puis Fatima et retour vers Emmaüs-Perpignan), autant le second, orienté vers l’Est, est d’une ambition folle. Après Compostelle, Jean Kina voulait en effet, avec Pilou, rallier Rome et Jérusalem, par étapes de 25 kilomètres, adaptées au rythme de l’âne portant son bât de 30 kilos. Parti avec une foi à soulever les montagnes et 4 000 cartes postales à distribuer, il a perdu 28 kilos, connu la fatigue et des conditions d’accueil très variées : souvent fort bonnes en Italie, parfois exécrables en Grèce, où il a aussi découvert une certaine hostilité à l’égard des ânes. C’est en tout cas par amour de Pilou qu’il a décidé, la mort dans l’âme, de rebrousser chemin à Feres, village d’une frontière turque interdite de franchissement à tout animal de ferme. Souvenir : « J’étais à mille kilomètres de Jérusalem, ma déception était immense… »

    Vivant mille misères lors de son voyage-retour, Jean Kina a décidé de raconter cette extraordinaire pérégrination. Il a envoyé par la poste des bouts du récit à son ami Maurice Melliet, responsable de la communauté Emmaüs de Chamiers, à charge pour lui de pérenniser sur écran les bribes de cette nouvelle odyssée…

    chez l’auteur : 24140 Beauregard et Bassac Tél : 05 53 82 43 Mail : jeanetpiloukina@gmail.com

  • 2 novembre 2015
    Ingrid Linke

    Bonjour Jean,
    Figure-toi que j’ai chez moi, en visite à Munich, la dame en mauve qui jadis a hébergé Pilou. J’espère qu’il s’en souvient car il a eu sur le terrain de Joëlle le plaisir de gambader tout autour de la maison sans la charge sur son dos.
    Nous avons pensé à toi car bien évidemment c’est toujours les souvenirs communs qui sont évoqués quand on a le plaisir de se retrouver.
    Cela nous ferait drolement plaisir d’avoir de tes nouvelles.
    Joëlle et Ingrid