Je rentre de Santiago, et je confirme que le Camino est de plus en plus fréquenté notamment sur sa dernière partie galicienne.Que ceci n’empêche pas les futurs pélerins de partir en cette saison.Partir de très bonne heure peut être une solution,mais il me semble qu’elle "gâche" une partie du bonheur de marcher.Sans faire la" course aux lit",il est possible de gérer ses étapes.Il reste évident que plus on arrive tard dans les gîtes, moins les chances de trouver un lit sont grandes.En ce cas il faut peut être prévoir de quoi dormir à la dure !
Sabine
2 juin 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Je rentre aussi de Santiago et Finisterra. Le chemin est certes tres frequente mais moins que l’an dernier. Je n’ai jamais fait la course au lit cette annee( ni l’an dernier d’ailleurs) et était probablement une des dernieres à quitter l’albergue. Lorsqu’on arrive à l’etape il y a toujours une solution et souvent les meilleures places nous sont offertes : chez l’habitant, dans un dortoir que l ’on ouvre specialement pour le pelerin ! Conclusion : ne vous stressez pas , vivez votre camino completement et dans le bonheur ! |
Marie-claude (MCC) de CHARENTE
19 juin 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Bonjour, |
monsieur3p
8 juillet 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Bonjour, |
ovive (paulehubry@yahoo.fr)
1er septembre 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?bonsoir monsieur3p je compte faire le pélerinage de Périgueux à Santiago (voire Cap Finisterre ... si mon corps le permet) en automne 2006 - je commence à me documenter au maximum - je compte rencontrer des associations début septembre vous êtes la première personne que je contacte directement avez-vous des remarques - suggestions - conseils - je ne demande qu’à en tenir compte. |
24 août 2006 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?une solution que je n’ai vu nulle part proposée, c’est le polideportivo de la ville (le gymnase) personnellement je rentre de camp et je suis parti de ponferrada (soit 250 km), j’ai dormi pratiquement toutes les nuits dans un gymanse (sauf au monte do gozo ou le complexe d’accueil est immense) il est vrai que le chemin est de plus en plus fréquenté à l’approche de saint jacques, cela dit on trouve toujours une solution...! buen camino à tous ! |
ovive (paulehubry@yahoo.fr)
1er septembre 2005 |
on
projet de pélerinage - cherche témoignages et conseilsbonsoir je tombe par hasard sur ce forum - par hasard ? je surfe sans arrêt depuis 2 mois depuis que l’appel de St Jacques m’a atteinte ce problème d’incivisme doit être décevant sur de tels sites mais on en voit de + en + partout, ça m’étonne à peine - c’est vrai qu’avec la fatigue on doit peu apprécier je compte partir d’Angoulême à l’automne 2006 pour aller jusqu’à Compostelle (et pousser jusqu’au Cap Finisterre si mon corps veut bien) - vous êtes peut-être presque une voisine - quel itinéraire avez-vous suivi ? je cherche un maximum de renseignements - conseils - remarques et suggestions en tout genre |
TRISTAN michel
25 septembre 2005 |
> projet de pélerinage - cherche témoignages et conseilsBonjour si tu parts d angouleme pas de problemes, comme en espagne , il y aura de bon et de mauvais moment. Je suis parti de st jean le 15 mai et je le conseil ,car le temps est notre guide, les jours sont plus longs et pas tres chaud , je lis que les touristes sont un probleme ok il suffit de s arreter dans les alberges parroissialles , us desirez plus de renseignements , je peux vous contacter |
Gaeil
4 janvier 2006 |
> projet de pélerinage - cherche témoignages et conseilsMoi aussi je suis tombé un peu par hasard sur ce forum...j’ai fait le Camino en 2005, de mai à fin juin. Je voudrais juste apporter une précision...peut-être que vous avez rencontré des gens qui faisait vraiment la course aux lits (? est-ce vrai ?)Personnellement je me suis souvent levé à 5h, et deux ou trois fois à 3h30 (pour un départ vers 4h ou 4h15..) Et je me doute que certains pèlerins ont dû, comme certains sur ce forum, prendre cela pour de la "course au lit". Cela ne m’a jamais effleuré l’esprit ! Mais je vous le dis, quel bonheur de voir un lever de soleil sur la meseta (les larmes aux yeux !) , mais pour arriver en haut du plateau il faut bien marcher deux heures...- la voie lactée comme je ne l’avais jamais vu dans le ciel de Foncébadon (c’est là que j’ai compris que ça nest pas un hasard si on l’appelle le chemin des étoiles . J’arrête là...vous aurez compris...j’avais oublié..marcher de 5h du mat à 14 h (maxi) est bien moins fatiguant sous le soleil d’Espagne, et pour ceux qui connaissent, je fais allusion à quelques lignes droites de plus de 20 km sans arbres...et c’est vrai, en plus on arrive aux gîtes en début d’après -midi, mais encore une fois, ça n’est pas le but, ça n’est qu’une conséquence... Ultreïa ! |
Philippe
2 juillet 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Je suis bien d’accord avec Toi, c’est encore plus fort de s’en remettre à St Jacques sans faire la course en ayant confiance. Il y a toujours une solution, il y a juste à se laisser guider et cheminer dans le bonheur. Merci |
evelyne
20 novembre 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?merci de cette reponse car je n ai vraiment pas envie de courir pour avoir un lit j ai vraiment envie de prendre mon temps d ecouter ,de regarder,et surtout de ne pas courir ,je suis la pour prendre le temps de vivre, alors peu importe le reste merci a toi a vous .le conseil sera le bien venu mon adresse selma15@hotmail.fr je pars debut avril du puy et j aimerai aller jusqu a st jacques merci a tous |
4 juin 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?savez vous s’il existe des cartes du style IGN au 25000 ème ?merci |
Marie-claude (MCC) de CHARENTE
19 juin 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Je suis partie de le 24 Avril 2005 de ST JEAN PIED DE PORT, et suis arrivée à SANTIAGO le 26 Mai 2005. Je suis heureuse, mais au fil des jours, je ressens une grande nostalgie après avoir vécu des moments très forts, peut-être nous sommes nous croisés sur le chemin !!!!! La saison est bonne pour partir, les blés sont très verts mais savent nous apporter un peu de fraîcheur malgré les parfums nauséabonds des pesticides parfois, mélangés aux odeurs de vins n’est ce pas ? |
Martine Réau-Gensollen
18 septembre 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?C’est de Chalosse que je suis partie, du seuil de ma maison, et j’ai continué, seule, jusqu’à Finisterra à plus de 1000 km de là... La peur ?... oui peut-être parfois... mais ça aussi c’est une épreuve que vous offre le chemin : l’occasion de la surmonter. L’esprit du chemin c’est aussi... comme il m’est arrivée à Hornillos del Camino, de voir qu’un pèlerin qui m’avait dépassée (parce qu’il marchait plus vite que moi !) quelques heures plus tôt, a occupé un lit jusqu’en fin de soirée et qui, informé de mon arrivée tardive, a laissé son lit pour moi et est parti, de nuit, jusqu’au prochain gîte. Il savait que s’il n’avait pas occupé cette place pour me la garder, je n’aurais pas trouvé de gîte pour la nuit.... alors ça remplace tous ces joggueurs matinaux qui se précipitent dans le gîte suivant pour un lit !!! Je ne prenais le chemin que vers 8 h (beaucoup de pélerins "oublient" que ce qui est mis à leur disposition, gratuit ou pas, mérite aussi un peu de nettoyage, et les hospitaliers un peu d’aide...) après avoir donné un coup de main. J’étais la plupart du temps (enfin... tout le temps je crois bien) la dernière à quitter le gîte. Je marchais lentement. Mais je marchais environ 10 à 12 heures par jour. Je m’arrêtais en chemin, souvent, je parlais avec les gens, je prenais des photos, je faisais des croquis, des aquarelles... et j’arrivais quand je pouvais... mais je m’étais remplie de la beauté du chemin, de la gentillesse des gens de rencontre, et j’ai goûté chaque instant de ce parcours magique que fut pour moi ce périple jusqu’à Compostelle et Finisterre... Alors, Buen Camino, Marie-Claude et vous tous qui partirez un jour où l’autre... le Chemin sera ce que vous en ferez... Amitiés jacquaires... Martine, la Pèlerine |
carmen
28 novembre 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Tout ce que vous dites, Martine, correspond bien à ce que j’ai vécu sur le Chemin. J’ai parcouru ce Chemin par séries de 2 semaines et celà avec 3 amis depuis Soulac. Pas de départ aux aurores, multiples arrêts pour discuter avec les gens, admirer les paysages, la beauté des sites... Nous avons vécu notre Chemin et avons toujours trouvé un lit en refuge, que ce soit en été ou au printemps. A présent, nous envisgeons de le refaire en partant du Puy puis plus tard, le Camino del norte et la Via de la Plata nous attendent.Carmen. |
Martine, la pèlerine
28 décembre 2005 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Comme vous Carmen, repartir sur le Chemin est un désir qui devient de plus en plus pressant... C’est décidé, en 2006 je repars en prenant cette fois- ci le chemin primitif, celui du Nord (ou chemin littoral). Il me reste à décider à quelle époque... Comme vous aussi, je pense que prendre son temps est la condition de la réussite, rencontrer les autres, admirer tout ce que la nature nous met sous les yeux... c’est aussi ça le chemin ! |
Carmen
9 janvier 2006 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Je viens de lire votre blog et j’ai l’impression d’être à nouveau sur le Chemin. Je n’ai qu’une envie, y repartir. Je pense que le prochain départ se fera depuis Le Puy. Votre périple m’intéresse d’autant plus que je suis aussi chalossaise ( en transit en région bordelaise).Il semble que vous n’habitez plus à Montfort. Si vous désirez communiquer, voici mon e-mail : carles33@free.fr. A bientôt peut-être. |
carmen
29 mars 2006 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Martine, j’ai effacé par mégarde votre adresse e-mail. Pouvez-vous me la redonner, SVP ? Merci. A bientôt. |
Martine, la pèlerine
16 avril 2006 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?mon adresse mail : martine.reau-gensollen@wanadoo.fr mon adresse blog : http://campostellae.com amitiés, Martine la Pèlerine |
PALERMO JOSEPH
6 juillet 2007 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?je rentre de mon pélerinage (15/4..22/6) après avoir emprunté la voie de Vézelay.Autant la partie française a répondu à mes attentes de pélerin novice et un peu naif(rencontres rares ,mais de qualité,hébergements et hospitaliers conviviaux et chaleureux, |
Burger Denis
19 octobre 2007 |
> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?Bonjour, je m’appelle Denis et je comprends très bien votre ressentiment après ce qui vous est arrivé ou vos mésaventures sur le chemin. J’ai effectué pour la première fois le chemin de Saint-Jacques en 1999 (Dernière année sainte du millénaire) et ce, en partant depuis Sauveterre de Béarn jusqu’à Santiago en Galice. J’ai été heureux et sublimé à la fois tout au long et ce du début jusqu’à mon arrivée à Saint-Jacques. J’ai cependant moi-même pu constater vos dires concernant les détournements volontaires et illicites de parties du camino avec le fléchage et ou effectivement on cherchait à détourner les pèlerins de leur (vrai) itinéraire pour les coopter vers des bars ou auberges. Le cas était flagrant, notamment à Belorado avec deux flèches jaunes du chemin contradictoire et en opposition ! De plus et je ne critiquerait jamais les hospitaleros des Albergues, nous avons été confrontés à une petite situation particulière, mon compagnon de route Belge et moi-même ; en arrivant en fin d’après-midi dans le magnifique lieu et site de San-Juan de Ortega. En effet, en arrivant et en nous adressant à l’entrée de l’auberge (gîte) pour pèlerin, située au mileu des bâtiments conventuels, à une dame responsable tout en étant poli et respectueux et en possession de notre "Credencial", nous avons été confrontés presque aussitôt et faire face à un monsieur fort désagréable et qui n’avait me semble -t-il rien à voir avec la dame et l’hébergement. Il était assez grossier (mon ami parlait couramment l’Espagnol’fort heureusement pour moi !) et ne souhaitait qu’une seule chose c’est de nous soutirer de l’argent sans raison apparente par rapport à la formule "Donativo" ou "Voluntad" ou encore tarif prévu en vigueur (en Pesetas à l’époque !). Finalement, il nous à fait attendre longuement avant de se décider à nous attribuer une place parterre, fort tard le soir et en dérangeant de plus tous les autres pèlerins sans raison. Nous avions été mangé tout d’abord dans l’auberge située en bout, puis nous avions participé à l’office et c’est le père qui nous a même montré de plus le beau retable ! Bref, quelle situation inutile et désagréable ; par contre, c’est le seul incident ou accrochage auquel nous avons eu à faire sur l’ensemble du chemin, fort heureusement. Nous avons souvent dormis et dû dormir parterre sur un matelas (12 fois sur 24 jours) ; mais nous ne nous sommes jamais plaints au contraire ! Je retiens un souvenir immense et ému de toutes les Albergues fréquentées et surtout des hospitaleros qui me restent au fond du coeur. Nous avons également été dans des "Albergues"-" privado", mais là-aussi, rien à redire comme partout ailleurs, l’accueil était partout chaleureux et convivial tout comme l’hospitalité et tous les mots gentils pour réconforter ! |
repondre message