sans connaître ce terme, je pense que je l’ai été à plusieures reprises, pour des personnes à pieds, à velo et pas sur les chemins de Compostelle, le nombre de personnes qui ont dormi où dîner à la maison ou les deux est assez incalculable, je n’ai fait que offrir sans arrière pensée sauf de connaître ce qu’ils vivaient, est-ce l’éducation de mon père qui mettait toujours une 3ème assiette au cas où ?, sans doûte, loin de moi de demander des deniers et/ou de laisser un carnet d’adresses, non, en fait, si je lis un dictionnaire, je serai plutôt accueillante lorsque les événements font que cela arrivent, je ne vais pas à la recherche, non, c’est juste un clin d’oeil, un regard qui font les choses et je n’ai jamais été déçue, si ce n’est une fois par un bonhomme à vélo qui vantait son matériel et se vantait lui m^me, là, j’ai eu tout faux, je ne regrette pas mais en fait avec ce bonhomme nous n’avions rien de spirituel à échanger, pas grave, cela arrive...la question "comment devient t’on hospitalier m’étonne", autant ouvrir un gîte ?, pourquoi pas et tout le monde peut en être sastifait, je pourrai le faire également mais ce n’est pas encore dans mes pensées...là, mes pensées se tournent vers ce pélerinage, je vais partir mi-mars 20010, du puy en Velay et bien entendu que je me pose des tas de question...et si l’hospitalité arrive , elle sera la bienvenue, mais comme je n’ai que moi à traîner, je n’ai pas de crainte quand à cela, j’aurai des enfants en bas âge avec moi, je pense que je serai davantage inquiète, pour eux, mais là, inchala, comme écrit sur le m^me forum dans d’autres liens, ma peur bleue est le brouillard....
Amicalement et plein de souhaits de bonheur, de bonne heure pour cette nouvelle année
Sonia
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