.duvet ou drap de couchage ?
Bonjour,
Je me prépare à marcher sur le chemin du Puy en Velay en septembre prochain. Au vu du contexte sanitaire je me demande si les gîtes d’étape proposent toujours des couvertures, auquel cas un drap de couchage est suffisant, ou s’il vaut mieux prendre un duvet.
Merci d’avance pour votre réponse.
Anne-Marie
13 réponses disponibles
S'informer
Recevoir chaque semaine la liste des derniers départs de discussion
Participer
Consulter et répondre aux messages postés
Bonjour,
Je me prépare à marcher sur le chemin du Puy en Velay en septembre prochain. Au vu du contexte sanitaire je me demande si les gîtes d’étape proposent toujours des couvertures, auquel cas un drap de couchage est suffisant, ou s’il vaut mieux prendre un duvet.
Merci d’avance pour votre réponse.
Anne-Marie
Mon avis est qu il vaut mieux avoir un duvet. S il y a en général des draps (parfois en intisses jetables) et des couvertures, j ai du tout de même dû sortir le duvet du sac.
Bonne route
Beatrice
Anne-Marie. Weight is a very important factor to take into account when deciding on equipment for the Camino. I have walked two times and use a Nylon ’ Hollowfill’ "Mummy"style sleeping bag. It’s only 480g, rolls into a small space and is ideally suited to indoor use in autumn. I actually walked in Spring, 26 April to 26th May but similar temperatures apply My bag is aHighlander Trekker \\\superlite 1-2 season.Perfecto ! Buen Camino. Mike.
aucune hésitation il faut privilégier le duvet.Vous serez paré pour tous les types de gites
Bonne question
Qui implique directement la composition du sac, et donc de son poids.
Un duvet, c’est au mieux 5 à 600 grammes..
Pas anodin..
J’ai opté, surtout en cette saison, pour un " sac à viande " en soie très léger..
Il permet de s’isoler aussi bien de la couverture que du revêtement matelas..
J’ai emporté un duvet à plusieurs reprises pour finalement m’apercevoir que je ne l’avais utilisé qu’une fois ou deux pendant trois semaines...
Belorado
Je ne suis pas convaincu de la nécessité d’un duvet. J’ai fait le chemin en Espagne en avril et le drap de couchage plus le drap en soie du duvet m’ont suffi car j’ai eu la chance de trouver une couverture à chaque gîte. Peut-être que ce n’est pas toujours le cas mais j’ai privilégié la légèreté du sac. Une seule fois je n’ai pas réussi à trouver une couverture alors qu’il y en avait. Cette nuit j’ai quand-même réussi à dormir en me couvrant avec ma chemise et mon KW. La température nocturne était ce jour clémente peut-être 10 degrés et les chambres gardent bien la chaleur du jour. Sans-doute qu’en condition plus fraîche j’aurais passé une très mauvaise nuit. J’ai fait le pari avant de partir qu’il ne gèle pas et qu’il ne neige pas en avril. J’ai eu la température idéale la journée pour marcher, ni trop chaud ni trop froid. Si c’était à refaire je crois que je continuerais à ne pas transporter d’habits chauds ni de duvet. J’ai toujours eu plus peur de transpirer sous le poids du sac que d’avoir froid.
Il existe des modèles de draps de sac stretch par exemple chez Sea to Summit. Comme toujours, proscrire le coton. Idéal et confortable en version rectangulaire et non pas sarcophage (étroits vers les jambes). On a malgré tout souvent à disposition une couverture et s’il fait froid, à la place d’un teeshirt (mérinos) un bon sous-vêtements mérinos manches longues, des chaussettes, ou même si ça ne suffit pas sa polaire, son bonnet et bonne nuit les petits !
Comme ça on se passe sans pb d’un sac de couchage, de son inconfort et de son poids.
On ne parle pas de l’hiver bien sûr.
Gilles
Pourquoi proscrire le coton ? Moi j’ai toujours utilisé un drap de couchage en coton ou en soie et je n’ai jamais eu de problème.
Le coton c’est un piège à humidité pour ne pas dire une éponge à transpiration. Ça sèche trop lentement, ça fermente, ça pue… Et c’est lourd. Et pour couronner le tout ça n’est pas respirant. Pas pratique pour le pèlerin et la pire erreur ce sont les chaussettes en coton : les mycoses et les ampoules adorent !
Gilles
J’suis pas convaincu. J’ai toujours utilisé du coton pour tous mes vêtements. C’est pas lourd et c’est respirant au contraire. Côté transpiration et mycose je trouve aussi que ça va. Pour ce qui est des ampoules j’ai pas remarqué de problèmes. Une seule fois j’ai adopté une technique un peu particulière : j’ai été obligé de découper le bout de mes chaussettes au niveau du petit orteil car elles prenaient trop de place dans mes pataugas à cet endroit et une ampoule commençait à se former entre les deux petits orteils. Et ça a marché. Avec de la compeed la douleur s’est même arrêtée assez vite. C’était donc pas lié au coton mais plutôt à la faible élasticité et à la grosseur de ces chaussettes qui avaient tendance à glisser en bout de pied.
sauf que cette année pour les problèmes de sécurité-hygiène-covid la plupart des gîtes ouverts ont enlevé les couvertures puisqu’il n’est pas possible de les laver après chaque passage...!!!
Pour ma part lors de mes multiples pèlerinages, je suis toujours parti avec un drap de soie et un duvet cela évite bien des tracas. J’ai déjà assisté à des scandales de pèlerins envers les pauvres hospitaliers dans des gîtes où il avait pénurie de couvertures et je trouvais ça lamentable de la part de soi-disant pèlerins. Donc Anne-Marie : drap de soie s’il fait chaud et duvet s’il fait froid.
Bon chemin.Ultreïa
Gabrielle, je suis parti de Salamanque et suis à Bilbao. Je n’ai pas eu une seule fois un souci d’absence de couverture, pas plus dans les albergues que les hôtels. Le vrai souci c’est la fermeture actuelle de pratiquement toutes les albergues municipales et de certaines gérées par des associations (d’où mon expérience sur les hôtels.).
Il y a des mesures sanitaires très inégales et juste par deux fois on m’a donné discrètement la couverture.
C’est mon expérience actuelle, mais les choses peuvent évoluer brutalement vers le haut comme le bas.
Sylvain nous ne devons pas parler de la même approche de la pérégrination. Et faire le chemin dans des pataugas avec des chaussettes en coton, là on mesure combien on a raison de vous dire “à chacun son chemin”.